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Faire son pain maison

Ah le pain… Je le préfère avec un carré de chocolat au milieu. Quoique, avec un peu d’huile d’olive et frotté contre de l’ail, un souvenir irlandais ramené dans mes valises, c’est délicieux aussi. J’ai découvert il y a quelques temps un ouvrage pour m’amuser à en faire moi-même. Mais avant de vous livrer l’une de de ses recettes, quelques anecdotes sur le pain.

L’histoire raconte que sa naissance remonte à l’Egypte Antique. A cette époque, de la pâte sans levain aurait été oubliée, se serait « gâtée » mais serait quand même passée au four. Ciabattas, naans, pumpernickels, baguettes… A chaque pays son pays, son nom, mais souvent une recette de base commune. Nous sommes gourmands de pain, de baguette surtout. Nous en avalons tout de même 10 milliards par an ! Mais pas autant qu’il y a 50 ans, trois fois moins.

C’est en flânant dans les rayons d’une librairie que j’ai découvert cet ouvrage : « les recettes pour faire son pain maison les plus faciles du monde ». Il avait un petit plus qui m’attirait tout particulièrement, il ne fallait pas de machine ! Juste quelques minutes de pétrissage à la main suffisait…

Le secret, c’est d’en faire voir de toutes les couleurs à la pâte, peandant 5 bonnes minutes. Je la plie, la replie, la malaxe dans tous les sens. Je lui donne ensuite des coups de poing d’un côté, puis de l’autre. Et je recommence l’opération, jusqu’à la fin du chrono. Je la prépare avec 300g de farine (T65 minimum), 3/4 cuillère à café de sel, 18cl d’eau tiède et un sachet de levure de boulanger sèche. Je couvre d’un torchon humide et laisse pousser 30 minutes. Je forme ensuite 2 boules et laisse pousser encore 10 minutes. Puis je façonne 2 baguettes, je remets le torchon et laisse pousser encore 30 minutes. Je lame mon pain, mets un plat rempli d’eau dans le four préchauffé à 210° et fais cuire 30 minutes.

J’ai tenté une variante, avec une baguette et 2 mini-boules de pain, dont une au chocolat, parce que j’ai un jour goûté un pain au chocolat. Ca donne cela ! Et vous, vous faites du pain maison ?

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Que faire avec des fruits au sirop ?

J’ai envie de partager avec vous une recette toute simple, avec un bocal de fruits au sirop.

Elle se prépare avec un ingrédient de base, qui avant de prendre sa place dans nos frigos se vendait en pharmacie : le yaourt.

J’adore cette recette, elle se décline à l’infini. Je la prépare avec un yaourt au lait de chèvre, surprenant mais cela ne change rien au goût ! C’est tout simplement un yaourt, 2 pots de sucre (roux de préférence), 3 pots de farine avec de la levure chimique, 1/2 pot d’huile (tournesol ou pépin de raison pour vous ?) et 3 œufs. Le tout dans un saladier, et je fouette je fouette je fouette ! Bref, la recette du gâteau au yaourt. A laquelle j’ajoute 2 bonnes cuillères à soupe de mirabelles au sirop, préparées l’été dernier avec un peu de sucre et d’eau, tout simplement. Le plus long, c’est d’enlever les noyaux. Mais c’est tellement bien de pouvoir manger des mirabelles en plein hiver !

Voilà, c’était mon « madeleine time » numéro 3 !

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« 13 à table ! » surfe sur l’écologie

Quand l’aventure de « 13 à table ! » a débuté, en 2015, j’ai trouvé l’idée vraiment sympa. Autour d’un même thème, des auteurs qui écrivent chacun une nouvelle et nous plongent dans des univers tellement différents ! Alors chaque année, c’est mon petit rendez-vous : je file à la librairie découvrir le petit dernier de la collection. Après le repas, la fratrie, l’anniversaire,l’amitié, la fête, le voyage, le premier amour, les vacances, c’est au tour de l’écologie d’inspirer les auteurs. L’occasion pour moi de vous présenter un nouvel article dans le coin « lectureécolo » ! Il s’agit de la nouvelle de Raphaëlle Giordano, intitulée « La planète et moi et moi et moi… ». C’est l’histoire de Constance, mariée, trois enfants. Elle aime aller à la bibliothèque avec ses bambins parce que dans ce lieu, le silence est d’or. Elle les dépose chacun dans leur espace préféré et se pose, enfin. Elle va tomber sur l’ article d’un magazine : « la planète et moi », mais fera, un mercredi parmi tant d’autres, une découverte encore plus extraordinaire : celle d’une « bibliothèque humaine ».

Sa façon de se poser des questions, en lisant l’article, m’a vraiment plu. On y découvre une mère de famille, qui s’interroge au fur et à mesure de sa lecture . Sur sa place, en tant que citoyenne, reconnaissant elle-même qu’elle attend un peu qu’on lui dise quoi faire pour la planète. Admettant qu’elle a du mal à prendre conscience de ce qui se passe loin de chez elle, qu’elle a ses propres soucis, ses « petits cailloux dans la chaussure ». Elle se remémore ce qu’elle fait à son niveau : ça n’est peut-être pas suffisant, mais comme elle le dit elle-même, « avant de penser à la planète avec un grand P, j’essaie de m’en sortir avec la mienne, de petite planète ». Le meilleur arrive lorsqu’elle découvre cette « bibliothèque humaine ». Le bibliothécaire l’invite à prendre le catalogue et à ne pas se fier aux couvertures. J’ai souri, car souvent je regarde moi-même d’abord les titres. Elle va se prendre au jeu, revenir pour découvrir d’autres histoires, parce que cette première qui l’aura fait voyager au cœur de l’Amazonie lui en aura donné envie. J’avais l’impression d’être à ses côtés, de plonger aussi au milieu de ces drôles de « livres ». J’aurai également je l’avoue hésité entre les différents titres proposés mais surtout, été agréablement surprise qu’une telle expérience soit proposée dans la bibliothèque de mon quartier. Bien évidemment, je ne vous dévoilerai pas la fin. Je vous dirai simplement que cette aventure lui a fait voir le monde autrement…

Le thème de l’année prochaine sera forcément différent, j’ai déjà hâte de le découvrir ! Mais je l’avoue, en même temps, j’aimerais que ce soit le dernier, celui qui fêtera la dissolution des « restos du cœur ». Ça signifiera, comme dit la chanson, qu’on aura trouvé la solution…

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Pour Noël, mangeons du chocolat !

À l’approche des fêtes de fin d’année, j’avais envie d’écrire un article sur l’un de mes ingrédients préférés, que l’on retrouve sur de nombreuses tables au moment du dessert : le chocolat.

Incroyable mais vrai, le chocolat n’existe que sur Terre !

Vous allez me dire, comme tous les autres ingrédients que nous mangeons. Nous n’avons pas encore planté quoi que ce soit dans l’Univers. Quoique, l’histoire raconte que Matt Damon aurait fait pousser des pommes de terre sur Mars… Si je parle de cela, c’est parce qu’il y a quelques mois, je suis allée visiter le musée du chocolat et suis tombée bien d’accord avec l’un de leur message : « la Terre est la seule planète où l’on trouve du chocolat : préservons-là ! »

Préservons également cette petite fève, arrivée par bateau sur notre continent il y a environ 500 ans. Je vous invite par ailleurs à lire un bel article du National Geographic pour en savoir davantage sur l’histoire de cette douceur sucrée. Mangeons du chocolat, oui, mais surtout privilégions celui qui aura été produit dans le respect de la Terre et des Hommes qui le cultivent. Je rejoins à ce sujet André Derbert, fondateur de Kaoka, pour qui « il est inconcevable d’acheter du cacao si ses producteurs ne peuvent pas en vivre décemment ». Par effet boule de neige, cela protège également le chocolat, puisqu’il pousse dans de meilleures conditions, avec des forêts de cacaoyers préservées. À moins que l’on ne veuille, sur nos vieux jours, n’avoir plus que du chocolat fabriqué en laboratoire à se mettre sous la dent, pensons-y !

Je m’amuse donc à faire le tour des chocolats éthiques, que ce soit pour croquer un carré ou préparer un dessert. Comme ça, pêle-mêle, j’ai déjà découvert les chocolats « C’est qui le patron« , « Tony’s chocolonely« , « Origines« , « Raconte-moi un chocolat« , « Kaoka » évidemment ! Ce qui me plaît d’avance, c’est de faire bien plus encore de découvertes gourmandes !

Des truffes au chocolat, sans lactose

Tout ce blabla pour en venir à une recette testée il n’ y a pas si longtemps, sans produits laitiers, parce que les intolérants au lactose ont le droit d’être gourmands eux aussi ! En écrivant ces lignes, je me rends compte que les intolérants au gluten et aux oeufs peuvent également la faire, c’est Noël ! Je me suis inspirée d’une recette existante, en changeant deux ingrédients.

Pour faire vos truffes, laissez fondre le chocolat coupé en morceaux (200 grammes). Ensuite, ajoutez hors du feu 3 cuillères à soupe d’huile non odorante (celle de pépins de raisin est parfaite !) avec 2 cuillères à soupe de lait (j’ai testé celui d’épeautre, à varier bien entendu selon vos intolérances !). Mélangez le tout, laissez un peu refroidir et mettez au frais une bonne demie heure. Il ne vous reste plus qu’à prendre des morceaux à la cuillère, à façonner des boules et les rouler dans du chocolat amer en poudre. Placez-les ensuite au frais pour qu’elles durcissent, quelques heures.

Vous avez aimé ? Racontez-moi !

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Découvrir Bordeaux et ses particularités

Partir à l’aventure, découvrir Bordeaux

Ces derniers temps, l’envie m’a pris de faire un mini « tour de France des monnaies locales ». Peut-être parce qu’après le Florain et la Sol-violette, j’ai eu envie de découvrir d’autres villes qui ont adopté ce concept ! Me voilà donc partie pour découvrir Bordeaux.

Bordeaux : une ville engagée

Au cours de mon escapade bordelaise, j’ai pu admirer ses jolis bâtiments : son théâtre, son hôtel de ville, ses anciennes portes. Me promener le long des quais, profiter du soleil qui était au rendez-vous, flâner le long de ses rues qui regorgent de petites boutiques. J’y ai vu une cantine proposant des produits locaux, une épicerie anti-gaspillage, dégusté un délicieux chocolat chaud au lait d’amandes chez « origines chocolaterie« , où l’on peut y observer comment les fèves sont broyées pour obtenir du chocolat. En cœur de ville, mes yeux se sont posés sur une vitrine remplie de bons petits gâteaux : un bar à cookies ! Ces biscuits artisanaux sont par ailleurs délicieux et « parfaitement imparfaits », comme disent leurs créatrices. Mais surtout, il existe la version sans beurre, parfaite pour une intolérante comme moi !

L’une des particularités de Bordeaux : sa monnaie locale !

Comme je vous le disais, j’allais également dans cette ville de la Gironde pour y découvrir sa monnaie locale. Chez plusieurs commerçants, il est possible d’échanger des Euros contre des Miels, les cartes d’adhérent fonctionnant au niveau national ! Avec ma carte du Florain, je me suis donc rendue chez l’un d’entre eux.J’ai jeté mon dévolu, comme comptoir de change, sur une librairie située à Bègles, à deux pas de Bordeaux. Après avoir échangé quelques mots avec l’un des libraires sur nos monnaies respectives, j’ai fait un tour dans leur charmante boutique. J’adore flâner au milieu des livres, découvrir les coups de cœur des libraires, y observer la décoration. Une librairie indépendante au coin d’une rue apporte un supplément d’âme à une ville. Et maintenant, si je vous montrai à quoi cela ressemble, un billet de la Métropole de Bordeaux ?

Voilà pour mes petites aventures bordelaises ! Si j’ai l’occasion d’y retourner, je ferai bien un tour chez Hegara, pour goûter aux spécialités de cette épicerie, et pourquoi pas aussi au musée d’Aquitaine !

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Tour d’horizon d’initiatives positives de novembre

Enfin une ville où les contenants réutilisables, sont les bienvenus ! A Orléans, l’opération « Éco-défis » auprès des commercants a été lancée. Plus de courses en vrac en perspective !

Envie de profiter un instant de la terrasse, en attendant le dessert, sans pour autant faire tourner les radiateurs ? Et si vous vous essayiez au wolleke ? C’est encore un projet-pilote, mais cela pourrait bien devenir la nouvelle mode dans de nombreux restaurants !

Puisqu’on parle chauffage, connaissez-vous les propriétés insoupçonnées de la fougère ? Du côté de la Bretagne, on en a fait l’expérience chez Eizhy !

Je vous emmène maintenant à Avignon, découvrir un concept zéro dechet bien pensé. A l’entrePôt, on récupère des produits chez des producteurs de la région dans des conteneurs réutilisables, puis ces produits devenus biodéchets sont repris pour être transformés en compost !

Rendez-vous en décembre pour un nouveau tour d’horizons !

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Le Florain, monnaie locale : 5 ans déjà !

Il y a 5 ans, à la mairie de Nancy, j’assistais à la soirée du lancement du Florain. Et l’aventure continue !

Une monnaie locale en Meurthe-et-Moselle

Comment en ai-je entendu parler ?

Cinq ans déjà que le Florain, monnaie locale sur Nancy et ses environs, est là. J’ai découvert ce concept en allant voir le film Demain. J’ai adoré le principe. J’étais ravie qu’en Meurthe-et-Moselle, on entre dans la danse ! Je ne vous dirai pas dans cet article « à quoi ça sert », je vous invite à ce sujet à faire un tour sur leur site officiel. Je vous raconterai plutôt « pourquoi j’y adhère toujours autant ».

Pourquoi j’aime dépenser des Florains

Voilà trois raison pour lesquelles j’aime avoir des Florains dans mon porte-monnaie :

  • J’aime savoir que les boutiques où je vais sont engagées pour la planète et cherchent à améliorer, afin de diminuer leur empreinte carbone. Avec le Florain, j’en ai la garantie !
  • J’adore découvrir de nouveaux endroits, goûter à des produits que je ne connais pas. Grâce aux nombreux professionnels qui adhèrent chaque année à la monnaie locale, j’ai une jolie petite liste dans laquelle piocher pour les mois à venir !
  • L’idée de donner un coup de pouce à l’économie de ma région me plait bien. Car lorsque j’échange des Euros contre des Florains, je participe à une épargne commune, laquelle permet à davantage d’entreprises Meurthe-et-Mosellane de financer leurs projets !

Une version numérique, pour aller plus loin !

Le 8 octobre dernier donc, j’étais à la mairie de Nancy pour célébrer ce cinquième anniversaire. Il y avait une table ronde, une buvette avec de bons gâteaux réalisés par les bénévoles, diverses animations dont un stand de jeux, un marché de producteurs. J’y ai retrouvé ce délicieux miel de châtaignier, goûté lors d’un concert aux collines de Sion. J’en ai profité pour en tester un autre, au tournesol cette fois-ci. Je ne remercierai jamais assez ces petites abeilles sans qui le miel et le chocolat n’existeraient pas !

Mais surtout, on y présentait le Florain numérique. Pour celles et ceux qui ont toujours un smartphone dans la poche, payer en monnaie locale va devenir un jeu d’enfant. IL n’y aura rien à penser, vous aurez votre cagnotte mensuelle à disposition. Pour en savoir plus, par ici !

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Tour d’horizon d’initiatives positives d’octobre

Encore de belles initiatives en ce mois d’octobre ! On en fait le tour ?

Saviez-vous que le lin est utilisé depuis 36 000 ans ? Partant de ce constat, l’entreprise Arketex, à Mulhouse, a eu l’idée de s’en servir pour remplacer le plâtre dans les constructions. Davantage d’acoustique et moins de poussière lors des travaux dans les maisons, c’est magique !

On descend dans le Sud ? Du côté de Toulouse, Tournesol utilse les déchets issus de l’industrie du bâtiment pour fabriquer des meubles ! Ainsi par exemple, des panneaux composites ont une seconde vie : au lieu d’etre enfouis, ils viennent décorer notre intérieur. En parlant d’enfouissement, saviez-vous que sur Belfort, les rues sont pavées de « Purple Solo » ? Il s’agit de dalles fabriquées avec du plastique non recyclable. Plutôt que de l’enterrer,, on l’utilise pour construire des rues où l’eau peut s’infiltrer dans les sols !

Et si à l’approche des vacances, vous partiez vadrouiller quelques jours ? Que diriez-vous alors de dormir dans un « écohôtels » ? Personnellement, je m’y arrêterai bien ! L’idée? Proposer un nouveau concept d’hôtellerie écologique et lifestyle, ancré dans l’économie locale. Qui sait, on pourra peut-etre payer sa nuit en monnaie locale dans le futur 🙂

Et pour terminer ce tour d’horizon d’initiatives positives, je vous propose un petit verre, en premant une boisson consignée. C’est l’idée de Fourgon qui, pour éviter les bouteilles en plastique jetables, se propose de vous livrer votre commande de jus de fruits, laits, cidres et compagnie et de récupérer au passage vos caisses de bouteilles vides.

Il y en a de belles idées pour réduire les déchets !



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Journée mondiale du chocolat

Chic, c’est la fête du chocolat!

Le chocolat et moi, c’est une histoire d’amour qui dure depuis…35 ans ? A peu près, oui ! Alors forcément, en ce début d’octobre, je ne pouvais qu’avoir envie de vous parler de cette douceur, célébrée à l’automne ! C’est mon <<madeleine time>> n°2 !

Une journée mondiale : oui mais pourquoi ?

Le premier octobre, c’est le <<cocoa day>>. En France, cette journée a été relayée par l’Académie Française du Chocolat et de la Confiserie, afin de mettre à l’honneur les différentes filières du cacao. En cette journée aussi, Max Havelaar a souhaité rappeler que nos chères tablettes ne sont pas toujours produites dans les meilleurs conditions du monde et qu’avec la déforestation et compagnie, cette fève est plus que jamais menacée. Je me joins à lui pour en parler, parque oui, je veux pouvoir encore manger du chocolat, du vrai, dans 50 ans !

Cette merveille, qui nous vient des Mayas et des Aztèques, existe chez nous depuis environ 500 ans. Pour découvrir son histoire, je vous conseille le musée du chocolat, à Paris. J’y suis allée il y a quelques mois : c’est formidable ! C’est une aventure à travers le temps qui vous y attend, avec des objets d’ époque à découvrir et des points gourmands pour vos papilles, où vous trouverez des chocolats à déguster.

Ma passion pour cette petite fève

Mine de rien, j’évoque régulièrement le chocolat sur <<colibris et compagnie>> ! Je raconte mes découvertes : le jour où j’ai goûté à Tony’s chocolonely, la fois où j’ai fait ma gourmande avec une tasse en chocolat ou un gâteau « presque zéro déchet » ou encore celle où j’ai entendu parler de « raconte-moi un chocolat« . En parlant de cette dernière expérience, j’attends le retour du chocolat à l’avocat pour vous raconter !

En cette « journée du chocolat », je vais encore vous en parler… Cet été, je suis allée découvrir la ville de Clermont-Ferrand et ses jolies pierres volcaniques noires, une agréable balade ! Entre deux flâneries, j’ai goûté à quelques spécialités locales. Je me suis arrêtée, entre autre, dans la Maison Pralus où j’ai jeté mon dévolu sur leur infusion de cacao. L’idée de boire de la peau de coquille de fève me plaisait beaucoup ! Et je dois vous dire que c’est un régal… Je la laisse infuser cinq bonnes minutes avant de la déguster, c’est comme si je plongeais au cœur d’une forêt de cacaoyers…

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Le coin « lecturécolo » : je suis au monde

J’ai découvert ce magnifique livre en fouillant à la médiathèque de St Max. C’est un voyage autour de la Terre qui vous attend : vous venez ?

« je suis au monde »

Dans cet ouvrage, l’auteur invite les enfants à plonger dans la grande barrière de corail, à se promener au coeur de l’Amazonie ou encore à suivre les traces de l’ours polaire. C’est une belle découverte du monde, tout en poésie, ou le texte alterne entre noir et couleur, entre différentes tailles de caractères, ce qui donne du rythme à l’histoire. Elle explique aux enfants, avec de jolis mots et de belles descriptions qui éveillent les sens, à quoi sert une jungle, ou comment les espèces coopérent entre elles. Au milieu de tout cela, de grandes illustrations, pour se sentir davantage en immersion.

Puis elle nous entraîne à Barcelone, pour nous raconter l’histoire de la révolution industrielle, les habitudes de l’Homo Sapiens, comment nous consommons. C’est un voyage qui nous invite à réfléchir à notre place au milieu de toute cette nature, à l’empreinte qu’on laisse sur le chemin, que l’on prend au début comme à la fin du livre. Il y a une phrase que j’aime beacoup dans cet ouvrage, parce qu’elle réveille l’enfant qui est en chacun de nous, et qu’agir sur le changement climatique est après tout intergénérationnel : « on pourrait utiliser les défis écologiques comme des trampolines, pour rebondir vers de nouvelles choses ».