Ah, les déchets…Ils poussent comme des champignons : au fond des océans, au milieu des déserts, au sommet des montagnes… Bref, ils sont partout ! Heureusement, des gens trouvent des solutions pour les réduire, voire passer au zéro déchet. Un petit tour d’horizon des cinq initiatives que je préfère, ça vous dit ?
1/ des activités pour apprendre le zéro déchet !
Pour commencer, allons du côté de Mulhouse. L’année 2023 y est marquée par des ateliers « zéro déchet », pour fêter le printemps. L’occasion d’apprendre à confectionner ses propres produits par exemple !
2/ pouvoir partir en vadrouille tout en triant
Vous l’avez sûrement déjà remarqué : lorsque l’on part en balade, on se retrouve souvent à ne pas pouvoir trier ses emballages. Marseille a décidé d’y remédier en mettant en place, sur les plages et dans les parcs, des abri-bacs pour faciliter la collecte et le tri des déchets. L’idée a d’ailleurs fait également son chemin à l’autre bout du pays. En bretagne, des colonnes de bois permettront de faire le trie !
3/ la coupe de cheveux en mode zéro déchet !
Et pour finir, direction le Canada ? Là-bas, certains salons de coiffure proposent du shampoing en vrac à leurs clients. Regroupés autour du programme « green circle », ils envoient les cheveux afin de les transformer en bois composite et de créer de nouveaux produits. Il fallait y penser !
Le printemps commence à pointer le bout de son nez. Il est temps de reprendre le jardinage ! Cette année, c’est décidé, je tente vraiment l’avenure de la permaculture. Pour commencer, je débute par les semis denichés l’an dernier que j’ai voulu planter trop tard… Ce sot des variétés anciennes de tomate-cerises, de mini-aubergines et compagnie que je mettrai d’abord bien au chaud dans mon salon, puis au soleil sur ma terrasse. J’espère cet été pouvoir me régaler de variétés « mirabelle », « chocolat », « muguet » ou « indigo » !
L’histoire raconte qu’en associant entre elles les plantes qui sont amies, on obtient de meilleures cultures. C’est l’un des secrets de la permaculture… Ce qui est sûr, c’est que regrouper des plantes entre elle qui ne s’aiment pas, c’est une catastrophe : j’en ai fait l’expérience ! Alors pour aller plus loin dans cette voie, j’ai feuilleté les pages du « guide de la permaculture urbaine ». C’est incroyable ce que l’on peut arriver à faire pousser sur de toutes petites surfaces ! Outre quelques conseils pour les semis, les plantes aromatiques ou encore les arbres fruitiers, ce livre regorge de témoignages. Certains créent des mini-jungle en coeur de ville, d’autres transforment des passages bétonnés en jardinière, ou leur salon en mini-potager, font pousser des plantes sur les toits ou arrivent à transformer leur balcon en forêt vierge ! De quoi trouver l’inspiration pour se lancer dans l’aventure !
Un beau jour, en farfouillant dans les rayons d’une librairie, je tombe sur un livre de recettes de cuisine végan. A cette même époque, je viens de découvrir mon intolérance, non pas au lactose, mais à la caséine contenue dans le lait de vache. Il me faut donc trouver de nouvelles recettes, sans produits laitiers, surtout pour les desserts ! Je feuillette l’ouvrage, il m’inspire : ses gourmandises, ses petits plats que l’on peut facilement adapter en fonction des légumes de saison, mais surtout, ses ingrédients que l’on peut sans grande difficulté avoir dans ses placards et qui pour la plupart, ne viennent pas de l’autre bout de la planète ! Je vous partage ici l’une de mes recettes préférées, à laquelle j’ai ajouté une touche personnelle : la tourte au sarrasin que l’on peut préparer en toute saison. Il suffit de choisir le légume du moment !
Ayant une amie intolérante au gluten (les repas entre nous sont inventifs !), j’ai réalisé une version sans farine de blé. Je fais revenir à l’huile 5-6 pommes de terre de taille moyenne, avec un oignon rouge. Lorsqu’elles commencent à s’attendrir, j’ajoute une courgette coupée en morceaux et laisse cuire le tout encore une dizaine de minutes, avec un peu de gros sel. Entre temps, j’ai préparé ma pâte, en mélangeant 300 grammes de farine avec 18 centilitres d’huile d’olive et d’eau à part égale. Pour travailler la pâte, il faut ajouter un peu d’eau pour la rendre moins friable et en faire une boule. Je la laisse reposer 10 minutes et la coupe en deux parties. J’étale la première moitié en utilisant une technique de pizzaïolo. Mon rouleau part du centre pour commencer à l’étaler, y revient, tourne sur le côté et recommence. Elle est plus friable qu’une pâte réalisée avec une autre farine aussi, je me sers d’un tapis. Je peux ainsi le retourner dans mon moule à tarte et décoller le tout, c’est très efficace ! Je pose ensuite ma garniture, étale la deuxième moitié de pâte au-dessus en refermant les bords.
Le tout va ensuite dans un four préchauffé à 180° pour 40 minutes. Et quand l’hiver prochain arrivera, je remplacerai la courgette par du butternut. Une tourte qui régale les papilles en toutes saisons !
Ah, les déchets…Ils poussent comme des champignons : au fond des océans, au milieu des déserts, au sommet des montagnes… Bref, ils sont partout ! Heureusement, des gens trouvent des solutions pour les réduire, voire passer au zéro déchet. Un petit tour d’horizon des cinq initiatives que je préfère, ça vous dit ?
1/ des granulats pour le BTP
Dans le Maine-et-Loire, l’ entreprise Néolithe s’est lancée pour défi de réduire l’incinération et l’enfouissement des déchet. Comment ? En transformant des déchets non-recyclables en granulats, réutilisés ensuite par les entreprises du BTP. Une belle façon de contribuer à la réduction des 30 millions de tonnes de déchets non-recyclables annuellement produits !
2/ des colis réutilisables
Hipli, dans le Nord, a choisi de diminuer les déchets d’emballage d’envoi, qui peuvent représenter jusqu’à 300 000 tonnes par an ! Elle propose pour cela un système de colis réutilisable et s’est associé avec Mondial Relay, pour faire davantage circuler ces cartons-là !
3/ un guide pour les commerçants
On traverse l’atlantique ? Direction le Canada, où un guide pour réduire l’emballage plastique et le gaspillage alimentaire a été rédigé, par et pour les commerçants. 60 pages d’idées pour réduire ses déchets, invitant ainsi les participants à se lancer dans une aventure « presque zéro déchet ». Jetez-y un œil !
4/ bienvenue à la maison !
Retour en France, en Bretagne. En avril prochain, sur Brest, des habitants engagés dans la démarche « zéro déchet » partageront leurs trucs et astuces, en recevant chez eux des personnes intéressées par la démarche. En ferez-vous partie ?
5/ des bottes de paille
Et pour terminer, retournons dans le Maine-et-Loire, avec l’entreprise Nic Isol’en paille. Que faire de la paille, à part l’utiliser pour la litière d’élevage ? Cette entreprise, spécialisée en écoconstruction, a eu l’idée de s’en servir dans le bâti, comme matériau d’isolation. Et comme de la paille, il y en a partout, il ne sera pas difficile de s’en procurer localement pour équiper nos maisons !
Ah le pain… Je le préfère avec un carré de chocolat au milieu. Quoique, avec un peu d’huile d’olive et frotté contre de l’ail, un souvenir irlandais ramené dans mes valises, c’est délicieux aussi. J’ai découvert il y a quelques temps un ouvrage pour m’amuser à en faire moi-même. Mais avant de vous livrer l’une de de ses recettes, quelques anecdotes sur le pain.
L’histoire raconte que sa naissance remonte à l’Egypte Antique. A cette époque, de la pâte sans levain aurait été oubliée, se serait « gâtée » mais serait quand même passée au four. Ciabattas, naans, pumpernickels, baguettes… A chaque pays son pays, son nom, mais souvent une recette de base commune. Nous sommes gourmands de pain, de baguette surtout. Nous en avalons tout de même 10 milliards par an ! Mais pas autant qu’il y a 50 ans, trois fois moins.
C’est en flânant dans les rayons d’une librairie que j’ai découvert cet ouvrage : « les recettes pour faire son pain maison les plus faciles du monde ». Il avait un petit plus qui m’attirait tout particulièrement, il ne fallait pas de machine ! Juste quelques minutes de pétrissage à la main suffisait…
Le secret, c’est d’en faire voir de toutes les couleurs à la pâte, peandant 5 bonnes minutes. Je la plie, la replie, la malaxe dans tous les sens. Je lui donne ensuite des coups de poing d’un côté, puis de l’autre. Et je recommence l’opération, jusqu’à la fin du chrono. Je la prépare avec 300g de farine (T65 minimum), 3/4 cuillère à café de sel, 18cl d’eau tiède et un sachet de levure de boulanger sèche. Je couvre d’un torchon humide et laisse pousser 30 minutes. Je forme ensuite 2 boules et laisse pousser encore 10 minutes. Puis je façonne 2 baguettes, je remets le torchon et laisse pousser encore 30 minutes. Je lame mon pain, mets un plat rempli d’eau dans le four préchauffé à 210° et fais cuire 30 minutes.
J’ai tenté une variante, avec une baguette et 2 mini-boules de pain, dont une au chocolat, parce que j’ai un jour goûté un pain au chocolat. Ca donne cela ! Et vous, vous faites du pain maison ?
J’ai envie de partager avec vous une recette toute simple, avec un bocal de fruits au sirop.
Elle se prépare avec un ingrédient de base, qui avant de prendre sa place dans nos frigos se vendait en pharmacie : le yaourt.
J’adore cette recette, elle se décline à l’infini. Je la prépare avec un yaourt au lait de chèvre, surprenant mais cela ne change rien au goût ! C’est tout simplement un yaourt, 2 pots de sucre (roux de préférence), 3 pots de farine avec de la levure chimique, 1/2 pot d’huile (tournesol ou pépin de raison pour vous ?) et 3 œufs. Le tout dans un saladier, et je fouette je fouette je fouette ! Bref, la recette du gâteau au yaourt. A laquelle j’ajoute 2 bonnes cuillères à soupe de mirabelles au sirop, préparées l’été dernier avec un peu de sucre et d’eau, tout simplement. Le plus long, c’est d’enlever les noyaux. Mais c’est tellement bien de pouvoir manger des mirabelles en plein hiver !
Ah, les déchets…Ils poussent comme des champignons : au fond des océans, au milieu des déserts, au sommet des montagnes… Bref, ils sont partout ! Heureusement, des gens trouvent des solutions pour les réduire, voire passer au zéro déchet. Un petit tour d’horizon des cinq initiatives que je préfère, ça vous dit ?
1/un carnet « zéro déchet »
Sur Pau, un carnet est mis à disposition des habitants pour les encourager à viser le zéro déchet. Il fourmille de pistes pour consommer mieux et autrement et se nomme tout simplement « Mon Carnet zéro déchet ». Découvrez-le à la fin de cet article !
2/de la porcelaine pour voyager
Une petite envie de vous promener sur les lignes du chemin de fer ? En allant du côté de l’Allemagne, à bord de leurs trains, vous pourrez casser la croûte dans de la vaisselle en porcelaine. Une façon chic de réduire les déchets !
3/des sous-vêtements compostables
Et si on se lançait dans la lingerie compostable ? Aux États-Unis par exemple, une américaine propose des sous-vêtements à base d’un matériau, surnommé la soie d’Amérique du Sud. Ces habits ne se trouvant pas d’occasion, autant leur donner quand même une seconde vie !
4/la fin du casse-tête pour le tri !
Je continue avec cet article de Reporterre, qui évoque les 7 mesures qui débarquent en 2023, dont certaines pour limiter les déchets. Ma préférée ? Celle sur les règles de tri, qui seront identiques partout en France : adieu le casse-tête ! Ceci dit, je continuerai à fuir les plastiques et à privilégier le zéro déchet !
5/une seconde vie pour les décors du cinéma
Et pour terminer, petit tour dans une ressourcerie pas comme les autres : la Ressourcerie du cinéma ! Saviez-vous qu’un décor construit représente 15 tonnes de déchets, à chaque film ? Partant de ce constat, l’idée de récupérer les anciens décors du 7e art a fait son chemin. Visite guidée par Karine, co-créatrice de ces lieux !
Quand l’aventure de « 13 à table ! » a débuté, en 2015, j’ai trouvé l’idée vraiment sympa. Autour d’un même thème, des auteurs qui écrivent chacun une nouvelle et nous plongent dans des univers tellement différents ! Alors chaque année, c’est mon petit rendez-vous : je file à la librairie découvrir le petit dernier de la collection. Après le repas, la fratrie, l’anniversaire,l’amitié, la fête, le voyage, le premier amour, les vacances, c’est au tour de l’écologie d’inspirer les auteurs. L’occasion pour moi de vous présenter un nouvel article dans le coin « lectureécolo » ! Il s’agit de la nouvelle de Raphaëlle Giordano, intitulée « La planète et moi et moi et moi… ». C’est l’histoire de Constance, mariée, trois enfants. Elle aime aller à la bibliothèque avec ses bambins parce que dans ce lieu, le silence est d’or. Elle les dépose chacun dans leur espace préféré et se pose, enfin. Elle va tomber sur l’ article d’un magazine : « la planète et moi », mais fera, un mercredi parmi tant d’autres, une découverte encore plus extraordinaire : celle d’une « bibliothèque humaine ».
Sa façon de se poser des questions, en lisant l’article, m’a vraiment plu. On y découvre une mère de famille, qui s’interroge au fur et à mesure de sa lecture . Sur sa place, en tant que citoyenne, reconnaissant elle-même qu’elle attend un peu qu’on lui dise quoi faire pour la planète. Admettant qu’elle a du mal à prendre conscience de ce qui se passe loin de chez elle, qu’elle a ses propres soucis, ses « petits cailloux dans la chaussure ». Elle se remémore ce qu’elle fait à son niveau : ça n’est peut-être pas suffisant, mais comme elle le dit elle-même, « avant de penser à la planète avec un grand P, j’essaie de m’en sortir avec la mienne, de petite planète ». Le meilleur arrive lorsqu’elle découvre cette « bibliothèque humaine ». Le bibliothécaire l’invite à prendre le catalogue et à ne pas se fier aux couvertures. J’ai souri, car souvent je regarde moi-même d’abord les titres. Elle va se prendre au jeu, revenir pour découvrir d’autres histoires, parce que cette première qui l’aura fait voyager au cœur de l’Amazonie lui en aura donné envie. J’avais l’impression d’être à ses côtés, de plonger aussi au milieu de ces drôles de « livres ». J’aurai également je l’avoue hésité entre les différents titres proposés mais surtout, été agréablement surprise qu’une telle expérience soit proposée dans la bibliothèque de mon quartier. Bien évidemment, je ne vous dévoilerai pas la fin. Je vous dirai simplement que cette aventure lui a fait voir le monde autrement…
Le thème de l’année prochaine sera forcément différent, j’ai déjà hâte de le découvrir ! Mais je l’avoue, en même temps, j’aimerais que ce soit le dernier, celui qui fêtera la dissolution des « restos du cœur ». Ça signifiera, comme dit la chanson, qu’on aura trouvé la solution…
À l’approche des fêtes de fin d’année, j’avais envie d’écrire un article sur l’un de mes ingrédients préférés, que l’on retrouve sur de nombreuses tables au moment du dessert : le chocolat.
Incroyable mais vrai, le chocolat n’existe que sur Terre !
Vous allez me dire, comme tous les autres ingrédients que nous mangeons. Nous n’avons pas encore planté quoi que ce soit dans l’Univers. Quoique, l’histoire raconte que Matt Damon aurait fait pousser des pommes de terre sur Mars… Si je parle de cela, c’est parce qu’il y a quelques mois, je suis allée visiter le musée du chocolat et suis tombée bien d’accord avec l’un de leur message : « la Terre est la seule planète où l’on trouve du chocolat : préservons-là ! »
Préservons également cette petite fève, arrivée par bateau sur notre continent il y a environ 500 ans. Je vous invite par ailleurs à lire un bel article du National Geographic pour en savoir davantage sur l’histoire de cette douceur sucrée. Mangeons du chocolat, oui, mais surtout privilégions celui qui aura été produit dans le respect de la Terre et des Hommes qui le cultivent. Je rejoins à ce sujet André Derbert, fondateur de Kaoka, pour qui « il est inconcevable d’acheter du cacao si ses producteurs ne peuvent pas en vivre décemment ». Par effet boule de neige, cela protège également le chocolat, puisqu’il pousse dans de meilleures conditions, avec des forêts de cacaoyers préservées. À moins que l’on ne veuille, sur nos vieux jours, n’avoir plus que du chocolat fabriqué en laboratoire à se mettre sous la dent, pensons-y !
Je m’amuse donc à faire le tour des chocolats éthiques, que ce soit pour croquer un carré ou préparer un dessert. Comme ça, pêle-mêle, j’ai déjà découvert les chocolats « C’est qui le patron« , « Tony’s chocolonely« , « Origines« , « Raconte-moi un chocolat« , « Kaoka » évidemment ! Ce qui me plaît d’avance, c’est de faire bien plus encore de découvertes gourmandes !
Des truffes au chocolat, sans lactose
Tout ce blabla pour en venir à une recette testée il n’ y a pas si longtemps, sans produits laitiers, parce que les intolérants au lactose ont le droit d’être gourmands eux aussi ! En écrivant ces lignes, je me rends compte que les intolérants au gluten et aux oeufs peuvent également la faire, c’est Noël ! Je me suis inspirée d’une recette existante, en changeant deux ingrédients.
Pour faire vos truffes, laissez fondre le chocolat coupé en morceaux (200 grammes). Ensuite, ajoutez hors du feu 3 cuillères à soupe d’huile non odorante (celle de pépins de raisin est parfaite !) avec 2 cuillères à soupe de lait (j’ai testé celui d’épeautre, à varier bien entendu selon vos intolérances !). Mélangez le tout, laissez un peu refroidir et mettez au frais une bonne demie heure. Il ne vous reste plus qu’à prendre des morceaux à la cuillère, à façonner des boules et les rouler dans du chocolat amer en poudre. Placez-les ensuite au frais pour qu’elles durcissent, quelques heures.
Ces derniers temps, l’envie m’a pris de faire un mini « tour de France des monnaies locales ». Peut-être parce qu’après le Florain et la Sol-violette, j’ai eu envie de découvrir d’autres villes qui ont adopté ce concept ! Me voilà donc partie pour découvrir Bordeaux.
Bordeaux : une ville engagée
Au cours de mon escapade bordelaise, j’ai pu admirer ses jolis bâtiments : son théâtre, son hôtel de ville, ses anciennes portes. Me promener le long des quais, profiter du soleil qui était au rendez-vous, flâner le long de ses rues qui regorgent de petites boutiques. J’y ai vu une cantine proposant des produits locaux, une épicerie anti-gaspillage, dégusté un délicieux chocolat chaud au lait d’amandes chez « origines chocolaterie« , où l’on peut y observer comment les fèves sont broyées pour obtenir du chocolat. En cœur de ville, mes yeux se sont posés sur une vitrine remplie de bons petits gâteaux : un bar à cookies ! Ces biscuits artisanaux sont par ailleurs délicieux et « parfaitement imparfaits », comme disent leurs créatrices. Mais surtout, il existe la version sans beurre, parfaite pour une intolérante comme moi !
L’une des particularités de Bordeaux : sa monnaie locale !
Comme je vous le disais, j’allais également dans cette ville de la Gironde pour y découvrir sa monnaie locale. Chez plusieurs commerçants, il est possible d’échanger des Euros contre des Miels, les cartes d’adhérent fonctionnant au niveau national ! Avec ma carte du Florain, je me suis donc rendue chez l’un d’entre eux.J’ai jeté mon dévolu, comme comptoir de change, sur une librairie située à Bègles, à deux pas de Bordeaux. Après avoir échangé quelques mots avec l’un des libraires sur nos monnaies respectives, j’ai fait un tour dans leur charmante boutique. J’adore flâner au milieu des livres, découvrir les coups de cœur des libraires, y observer la décoration. Une librairie indépendante au coin d’une rue apporte un supplément d’âme à une ville. Et maintenant, si je vous montrai à quoi cela ressemble, un billet de la Métropole de Bordeaux ?
Voilà pour mes petites aventures bordelaises ! Si j’ai l’occasion d’y retourner, je ferai bien un tour chez Hegara, pour goûter aux spécialités de cette épicerie, et pourquoi pas aussi au musée d’Aquitaine !